Monde Turquie se retire de sa base au nord-ouest de la Syrie, selon des sources,
Un an après l'offensive turque, le rêve lointain d'un retour des Syriens déplacés
La fille de Wadha Charmoukh n'a connu, à cinq mois, que la vie sous une tente, dans l'un des camps abritant des dizaines de milliers de personnes chassées de leurs villages du nord de la Syrie lorsque la Turquie, assistée de partenaires syriens, a repris ce territoire aux forces kurdes il y a un an. Wadha et sa famille ont dû, comme des dizaines de milliers de personnes, abandonner leur maison puis s'installer dans des camps de fortune situés dans des zones encore sous le contrôle des forces kurdes.Des groupes de défense des droits humains ont rapporté des cas de pillage et de saisie de biens à grande échelle à l'issue de l'opération turque.
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Par conséquent, le but de la Turquie est « plus de chaos » qui témoignerait de l ’importance de son rôle. Un stratagème compatible avec la vanité Ben oui que la turquie se retire et laisse les usa et la russie pomponne le cul des militants kurdes et l otan aussi de toutes façon ils pissent tous dans le
Après les menaces de son Premier ministre Davutoglu, la Turquie a lancé une campagne de bombardements samedi dans le nord - ouest de la Syrie , frappant l'armée gouvernementale syrienne ainsi que des milices kurdes combattant les terroristes de Daesh.
Par Suleiman Al-Khalidi et Orhan Coskun

AMMAN / ANKARA (Reuters) - La Turquie retire ses troupes d'un poste militaire dans le nord-ouest de la Syrie qui était encerclé par les forces gouvernementales syriennes l'année dernière, mais consolide sa présence ailleurs dans la région, ont annoncé lundi des sources proches de l'opération.
Le poste d'observation de Morek était l'un des douze mis en place par des soldats turcs en 2018 dans le cadre d'un accord malheureux pour calmer les combats entre les troupes gouvernementales syriennes et les rebelles soutenus par la Turquie contrôlant la région du nord-ouest d'Idlib.
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Syrie : le Conseil de sécurité de l 'ONU va se réunir en urgence jeudi. La réunion a été demandée par les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni, selon des Les Etats membres du Conseil de sécurité de l 'ONU devraient notamment reparler de l 'autorisation faite aux convois humanitaires de l 'ONU de
D’ailleurs, la Turquie insista sur cette éventualité, craignant de devoir accueillir un flux trop important de réfugiés sur son sol. Mais il s’agissait aussi pour Ankara de protéger les groupes rebelles Accord qui ne fut que partiellement appliqué, les organisations jihadistes ayant refusé de se retirer d ’Idleb.
Morek et plusieurs autres postes turcs ont été encerclés l'année dernière par l'avancée des forces gouvernementales syriennes. Ankara les a gardés habités et réapprovisionnés depuis lors, tout en renforçant le territoire détenu par les rebelles pour retenir les forces gouvernementales et empêcher des millions de réfugiés de se diriger vers la Turquie. Dans le passé, les responsables turcs de
ont exclu de se retirer d'un seul poste d'observation, mais les sources ont déclaré qu'il n'y avait plus de valeur militaire à rester à Morek.
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Le retrait de la position exposée prendrait plusieurs jours, a-t-il dit, le décrivant comme faisant partie des efforts de la Turquie pour "consolider les lignes de cessez-le-feu" conclu dans un accord de mars avec la Russie qui a mis fin aux combats les plus intenses des années autour d'Idlib.
Deux autres sources proches de l'opération, qui ont demandé à ne pas être nommées, ont déclaré que le retrait avait commencé tôt lundi. "Les forces armées turques n'envisagent pas d'évacuer un autre poste d'observation à ce stade", a déclaré l'un d'eux. Les rebelles syriens
affirment que la Turquie conserve entre 10 000 et 15 000 soldats dans la poche du nord-ouest de la Syrie, aux côtés des combattants rebelles soutenus par Ankara et des forces djihadistes qu'elle s'est engagée à désarmer et à contenir.
Abritant déjà 3,6 millions de réfugiés syriens, la Turquie est déterminée à empêcher un nouvel afflux de personnes fuyant les combats. Selon les Nations Unies, il y a environ 4 millions de personnes dans le nord-ouest de la Syrie, dont 2,7 millions ont été déplacées pendant le conflit vieux de neuf ans.
Turquie a soutenu les rebelles qui cherchaient à renverser Bachar al-Assad. Mais le président syrien, soutenu par la Russie et l'Iran, a repoussé les combattants rebelles qui menaçaient autrefois d'encercler Damas et sont désormais confinés dans leur petite poche au nord-ouest du comté.
(écrit par Dominic Evans, édité par William Maclean)
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