Monde Les tensions soudanaises font surface alors que la pression américaine déclenche un débat sur Israël

Par Khalid Abdelaziz

© Reuters / MOHAMED NURELDIN ABDALLAH FILE PHOTO: Le Premier ministre soudanais du gouvernement de transition Abdalla Hamdok s'adresse aux gens alors qu'ils célèbrent le premier anniversaire du début du soulèvement qui a renversé le dirigeant de longue date Omar al-Béchir, à la salle de l'amitié à Khartoum

KHARTOUM (Reuters) - La pression des États-Unis sur le Soudan pour normaliser les liens avec l'ancien adversaire Israël a suscité un débat public sur un sujet qui était depuis longtemps tabou, révélant des divisions qui pourraient compliquer tout règlement rapide d'un accord.

Avant le 3e débat, Trump s'en prend à nouveau au modérateur. Cette fois, c'est Kristen Welker de NBC qu'il appelle «injuste».

WASHINGTON - Le prochain (et dernier débat) n'a lieu que jeudi, mais le président Donald Trump tente déjà de faire pression et d'intimider la modératrice, la correspondante de NBC News à la Maison Blanche, Kristen Welker. Votre navigateur ne prend pas en charge cette vidéo "Elle a toujours été terrible et injuste, comme la plupart des journalistes de Fake News, mais je continuerai à jouer au jeu", a tweeté Trump samedi.

Comment faire baisser sa tension à l’aide de 14 conseils diététiques. Combien d’années de vie on perd en moyenne en cas d’ hypertension . Une tension artérielle (trop) élevée, ce que l ’on appelle également hypertension artérielle, correspond à une pression trop forte sur les vaisseaux sanguins.

Pour finir, l’ancien chef de la défense, fait part de son inquiétude concernant les tensions actuelles entre la Russie et l’OTAN qu’il qualifie de «potentiellement très dangereuses», et a plaidé pour une réduction drastique des arsenaux nucléaires et en particulier des missiles balistiques

Un accord entre le Soudan et Israël s'est peut-être rapproché lundi lorsque le président américain Donald Trump a annoncé que Washington retirerait Khartoum de sa liste des États parrains du terrorisme.

Les personnalités militaires à la tête de la transition politique au Soudan ont semblé ouvertes à la normalisation des relations, mais les groupes civils, y compris les politiciens de gauche et islamistes, sont plus réticents.

Un gouvernement technocratique a jusqu'à présent repoussé les avancées américaines visant à pousser le Soudan à suivre l'exemple des Émirats arabes unis et de Bahreïn, qui ont tous deux signé des accords pour établir des relations formelles avec Israël à la Maison Blanche le mois dernier. La prudence de

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Israël et les Émirats arabes unis ont accepté lundi de voyager sans visa, un accord sans précédent entre Israël et un État arabe, signé après le débarquement de la première délégation officielle des Émirats arabes unis à Tel Aviv.

La tension monte après la reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale de l'Etat hébreu. A short while ago, a projectile was fired from northern Gaza & exploded in southern Israel . In response to that fire & the projectiles fired at Israel throughout the day that fell short in Gaza, an IDF

Ceci dit, on a vu Israël et la Turquie qui bombardent la Syrie de temps en temps, tandis que la La frappe des missiles en Syrie a révélé que la courante administration américaine manque Si, à chaque fois les Russes ont peur que cela finisse en guerre nucléaire alors je ne vois pas pourquoi les

Khartoum reflète les craintes qu'une telle politique étrangère majeure en cette période de crise économique profonde puisse perturber l'équilibre délicat entre les factions militaires et civiles, et même mettre le gouvernement en danger, ont déclaré deux sources gouvernementales soudanaises.

"Prendre une décision historique sur les relations avec Israël nécessite une situation de stabilité économique et politique dans le pays", a déclaré l'une des sources.

"Après la levée des sanctions américaines, le Soudan pourrait discuter du dialogue sur la normalisation avec Israël et ses avantages pour le Soudan, selon les intérêts du Soudan."

Le Soudan, qui a toujours été fermement opposé à Israël, est entré dans une transition politique depuis 18 mois après que l'autocrate Omar el-Béchir a été expulsé du pouvoir à la suite de manifestations populaires.

Le gouvernement fait face à une inflation en spirale de plus de 200% et a eu du mal à fournir des produits et services de base. La pandémie de coronavirus et les graves inondations ont ajouté à ses malheurs.

Israël et le Soudan font la «paix» dans le troisième accord du monde arabe supervisé par Donald Trump

Le Soudan et Israël ont conclu la «paix» dans ce qui sera le troisième accord de ce type supervisé par le président Donald Trump, faisant du Soudan le cinquième pays arabe à établir relations diplomatiques avec Israël. © Oleksii Liskonih / iStock / Getty Images Les drapeaux d'Israël et du Soudan sont vus ensemble dans cette illustration.

Pour Israel Katz, en rediscuter aujourd'hui est pertinent, peu de temps après de supposés tirs de missiles iraniens sur le plateau le 8 mai : «C'est le La réponse la plus douloureuse que l 'on puisse infliger aux Iraniens serait de reconnaître la souveraineté d' Israël sur le Golan avec une déclaration

Pendant ce temps et alors que les soudanaise étaient plein de colère, le porte-parole du gouvernement, Bishara Juma, a déclaré: « des manifestations Le directeur du service de sécurité soudanais Salah Gosh blâmait ces manifestants d’être « rebelles avec des liens avec Israël »[6] (la

Le retrait de la liste du terrorisme - une fois que Khartoum aura mis de côté 335 millions de dollars, il a accepté de payer aux victimes américaines d'attaques de militants et à leurs familles - pourrait aider à atténuer les difficultés économiques, en partie en débloquant le financement international et l'allégement de la dette.

Washington a offert au Soudan une aide au développement et une aide humanitaire, ont déclaré des sources américaines et basées dans le Golfe en septembre, après que des responsables américains et le chef de l'armée, le général Abdel Fattah al-Burhan, aient discuté de la question d'Israël en septembre.

Mais alors que les États-Unis ont fait pression pour que le Soudan se normalise avec Israël au moment où il finalise le retrait de Khartoum de la liste, le Premier ministre soudanais Abdalla Hamdok a soutenu que les deux questions ne devraient pas être liées.

BESOIN DE TEMPS

"Il n'est pas possible qu'un peuple entier soit contraint de se normaliser en une semaine ou deux", a déclaré lundi à la télévision soudanaise Hiba Mohamed Ali, ministre des Finances par intérim.

Israël et le Soudan vont normaliser leurs relations, les Palestiniens fulminent

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué un « formidable revirement » tandis que Hazem Qassem, le porte-parole officiel du Hamas, dénonçait un nouveau « péché politique ». « Quel formidable revirement ! Aujourd’hui Khartoum dit oui à la paix avec Israël, oui à la reconnaissance d’Israël et à la normalisation avec Israël », a réagi Benjamin Netanyahu dans une déclaration en hébreu transmise par ses services à l’AFP.

Alors que deux bombardiers américains B-1B viennent à nouveau de survoler la région, rejoints par des avions de chasse sud-coréens et japonais dans La Russie insiste également sur le fait qu’il n’y a pas de solution militaire à la crise dans la péninsule coréenne. Lors de la dernière réunion du CSNU

D'après nos informations, les Diplomates basés en Guinée mettraient la pression sur le Président sortant Alpha Condé pour qu'il accepte sa défaite afin d'éviter un bain de sang. En retour, Conde essayerait de négocier un second tour pour éviter un revers humiliant dès le 1er Tour.

"Si nous souhaitons normaliser les relations avec Israël, nous devons donner une chance appropriée pour que la question soit étudiée en détail."

Malgré le soutien apparent de Burhan, qui a rencontré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu en Ouganda en février, et son adjoint militaire Mohamed Hamdan Dagalo, qui a récemment loué le développement économique d'Israël, une décision rapide de normaliser les relations pourrait briser la coalition civile avec laquelle ils partagent le pouvoir.

"Notre vision de l'entité sioniste est restée fixe - que c'est une entité raciste hostile à tous les mouvements de libération nationale", a déclaré Sadiq Farouk, un chef du Parti communiste de la coalition qui soutient le gouvernement.

Hamdok a déclaré qu'il n'était pas autorisé à décider des relations avec Israël. "Avec cette position, Hamdok veut éviter toute décision qui pourrait conduire à une scission dans la coalition au pouvoir qui soutient le gouvernement", a déclaré Fath Alrahman Ahmed de l'Université Al-Neelain de Khartoum.

Reconnaître Israël pourrait également déclencher une réaction violente de la part des factions islamistes fidèles à Bashir qui ont cherché à discréditer la transition.

Pourtant, les gens ont pu manifester leur soutien à l'établissement de liens publics pour la première fois.

Un ancien député, Abulgasem Bartum, a déclaré qu'il prévoyait un voyage privé avec 40 hommes d'affaires, sportifs et personnalités culturelles soudanaises en Israël comme mesure de confiance le mois prochain.

A Jérusalem, Zvi Hauser, président de la commission des affaires étrangères et de la défense du parlement israélien, a déclaré au radiodiffuseur public Kan Israel pourrait aider la région avec la science et la technologie et il espérait que le Soudan rejoindrait la «vague» de reconnaissance.

Certains jeunes Soudanais, moins attachés à la cause palestinienne que leurs parents ou grands-parents, disent qu'ils pourraient également soutenir cette décision.

"Je n'ai aucune objection à ce que le Soudan ait des relations normales avec Israël si cela est dans l'intérêt du pays", a déclaré Ahmed Ibrahim, un employé d'une société de télécommunications âgé de 30 ans.

"Nous voulons des emplois, la santé, l'éducation et une vie meilleure ... le Soudan doit prendre soin de lui-même."

(Reportage supplémentaire de Dan Williams à Jérusalem, écrit par Aidan Lewis, édité par William Maclean)